Vendredi passé, le mouvement Osons! a convié la presse pour présenter ses candidats pour le 14 octobre prochain.
Vous pouvez télécharger le Dossier de presse – Candidats Osons! ici.
Des candidats motivés, dynamiques, enthousiastes
Quatre mois à peine après son lancement, le mouvement Osons! vous présente ses candidats.
D’origines et de convictions différentes, ils unissent leur enthousiasme et leurs expériences pour redonner du souffle à notre commune. Montigny-Landelies aura besoin d’un nouvel élan pour relever les défis qui l’attendent.
Songeons à l’allongement de la vie. C’est un atout. Ce sont aussi des attentes spécifiques comme le maintien à domicile, l’envie de nos aînés d’être considérés comme des acteurs à part entière.
Songeons à la nécessité d’attirer des jeunes. Cela passe par le renforcement de l’attractivité de la commune, qu’elle concerne l’activité économique et culturelle ou l’offre de de logements adaptés.
Songeons à l’urgence de régler des problèmes de mobilité (malgré l’existence d’un plan). Songeons à ce sentiment d’insécurité qui mine les efforts pour améliorer le « vivre-ensemble ».
Un élan citoyen
Cet élan viendra des citoyens. Ce n’est pas seulement souhaitable ; c’est indispensable.
Vivre dans une commune correctement gérée, bien entretenue, sécurisée, respectueuse des personnes, à commencer par les plus fragiles, c’est le minimum qu’on puisse exiger des autorités communales. Ce n’est pas un projet, c’est un devoir. Nous l’exigeons. Et nos concitoyens l’exigeront de nous si grâce à leur confiance, nous participerons au « gouvernement de la commune ».
Accomplir notre devoir d’élu, c’est bien. Mais c’est insuffisant pour maintenir et développer cette qualité de vie à laquelle nous tenons tant. Nous avons besoin d’idées neuves et audacieuses. Nous avons besoin d’être oxygénés par l’apport des citoyens qui mêlent souvent l’idéal et le pragmatisme.
C’est l’essence de la démocratie participative. Elle complète, dynamise et peut réenchanter la démocratie représentative. Celle-ci a besoin d’être régénérée. Elle donne trop l’impression qu’une élite « confisque » les processus de décision. Cette impression est renforcée par le formalisme, voire l’apathie du Collège communal, tel qu’il fonctionne.
Impliquer davantage les citoyens dans la réflexion, voire dans la prise de décision n’a rien d’une chimère. C’est utiliser au mieux le potentiel et les ressources des Montagnards et des Landelins.
Des citoyens, mieux informés, mieux formés
Cette volonté passe par deux conditions. 1. Que les autorités communales voient l’émergence de cette participation comme un apport utile. Qu’elles n’aient pas peur : les citoyens impliqués se rendent vite compte que les situations sont rarement aussi simples que ne le clament les champions du « n’y a qu’à ». 2. Que les citoyens qui s’engagent soient suffisamment formés et informés pour exercer leur mission avec efficacité.
Ces observations n’empêchent ni l’enthousiasme ni l’idéal, comme en témoignent les propositions que nos candidats ont été invités à formuler. Comme toutes les autres qui formeront notre programme, elles seront analysées, étayées avant d’être officialisées. C’est un aperçu.
Parler de participation, c’est bien. L’appliquer, c’est mieux !