Un nouvel élan pour Montigny-Landelies

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Jean Jacquart

Tombé amoureux de Montigny

Jean Jacquart fait partie de ces citoyens montagnards plus connus par leur hobby que par leur profession.
 
Il est vrai que s’il travaille à l’armée, il est aussi – et surtout – directeur sportif du Tennis Club du Bois du Prince. Il est responsable des jeunes, donne cours, suit les matches, joue lui-même et participe, avec une belle gouaille de troisième mi-temps aux activités du club. Jean déborde de vitalité. Il le dit lui-même : il ne tient pas en place. C’est-à-dire qu’il est dans la vie comme sur le bord du terrain quand il coache : un passionné créatif !
 
Jean Jacquart n’est pas un enfant de Montigny. La balle affaire : il en est tombé amoureux et a décidé de pleinement s’y investir. Sa rencontre avec Osons ! s’est faite aux débuts du mouvement, avant sa naissance officielle. L’ouverture, la volonté de rassembler lui plaisent, comme le fait que le groupe soit indépendant. Pas besoin d’avoir une carte de parti pour se lancer. 

Mes idées pour Montigny-Landelies

Développer une vraie politique sportive

Il y a des bons clubs à Montigny. On connait surtout les clubs de basket, de tennis, de jogging, de cyclotourisme, de football (grâce à une renaissance). Mais on ne sent pas de politique sportive dynamique et structurée qui viserait à encourager la pratique sportive grâce à des initiatives collectives, des synergies entre les clubs.
La première chose à faire, c’est de réunir les clubs pour examiner leurs projets, leurs besoins, les attentes qu’ils ont de la commune.
Ensuite, j’élargirais le débat à l’ensemble de la population en posant cette question : « Comment aménager notre commune pour inciter les habitants à adopter un mode de vie physiquement plus actif ?

Je veux encourager les clubs, les aider, pousser les jeunes et créer des synergies entre les clubs.
Jean Jacquart
Militaire de carriere

Je suis venu au tennis par hasard, en sortant du milieu du foot. Les Mc Enroe-Borg et les Connors-Lendl me rendaient fou. Pendant 10 ans, j’ai cru que la guerre se faisait aux quatre coins du court. Et puis, petit à petit, j’ai compris que l’aspect collectif me ferait avancer plus : le club, le groupe, les jeunes, le travail ensemble.

Comme au Tennis Club du Bois du Prince depuis 2009 et, l’espère, comme à Montigny après le 14 octobre.

Souvent, c’est le manque de souplesse qui te fait trébucher
Sophocle
dramaturge grec
La bonne longueur de jambes, c’est quand elles touchent le sol
Coluche
humoriste et comédien français

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Cette section sera complétée au fur et à mesure que les candidats sont présentés en vidéo, un peu de patience! 🙂

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