Un premier souci évoqué concerne les plantations. Elles sont indispensables pour maintenir la touche verte du quartier. « Le problème, disent les riverains, c’est qu’elles ne sont pas entretenues assez régulièrement par la commune et qu’il existe une différence traitement entre la rue principale et les rues secondaires, culs-de-sac et ruelles. Comme si on se contentait d’un nettoyage de façade. »
Proposition :
Permettre à des représentants du quartier d’avoir un accès au programme général d’entretien de la commune. Il est important de savoir ce qui est prévu, et à quelle date. Une information précise est toujours préférable.
Le nombre de voiture augmente, pas le nombre de place. Des riverains qui ont deux, voire trois voitures, débordent.
Propositions :
– La carte de riverain
– L’analyse rue par rue de ce qui peut être fait, par exemple créer quelques places de parking en épi, en enlevant des broussailles sous des arbres, ce qui permettrait de gagner.
A noter que ce point suscite d’autres réflexions plus générales comme encourager la mobilité douce de manière à diminuer l’impact de la voiture.
Deux cibles principales : les véhicules qui veulent éviter la Route de Gozée aux heures de pointe et les quads et motos qui déboulent du « chemin Tavernelle ». Dangereux pour les riverains, les enfants en particulier.
Frédéric De Bon précise un élément du « plan de mobilité », prévoyant d’aménager le carrefour entre la route de Gozée, la rue du Bois Frion et la rue du Grand Chemin, en visant la sécurité maximale tout en dissuadant le délestage.
Propositions :
– Diminuer la vitesse tolérée actuellement (50 km/h, en gardant évidemment le 30 aux abords de l’école.
– Installer des panneaux de rappel dans les rues secondaires
– Placer des radars fixes.
Le débat est lancé quand Jean-Claude Bolssens annonce que certains habitants souhaitent créer un espace de détente pour les enfants, comme il y en a déjà eu derrière le Beaucory. Souci : cela risque de faire venir des « bandes » qui créent divers types de nuisance.
Propositions :
– Installer des caméras
– Renforcer la présence de la police
– Accroître l’éclairage public insuffisant, surtout dans les venelles.
Frédéric De Bon annonce que petit à petit des ampoules LED remplacent les anciennes.
Le Partenariat local de prévention existe en théorie mais qu’en est-il dans les faits ? La majorité des participants ignorent sont existence.
Rappelons qu’un Partenariat Local de Prévention (PLP) est un accord de collaboration entre les citoyens et la police locale au sein d’un quartier déterminé. Son intérêt principal vient de l’échange permanent d’informations.
Pour Frédéric De Bon, l’activation du PLP, basé sur la participation citoyenne, en bonne intelligence avec la police et tous les services concernés par l’animation du quartier, sera l’un des axes majeurs du programme de notre mouvement Osons !
Une conclusion générale ? S’il était efficace pour la discussion de sérier les sujets, on se rend compte que la plupart se chevauchent et que les solutions découleront d’une approche globale du quartier dans ses aspects d’entretien, de sécurisation, d’information.