« Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas, mais parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles »
Sébastien Bousman aime cette citation de Sénèque.
Elle illustre bien son choix d’entrer dans notre mouvement.
La bienvenue lui fut souhaitée, comme il se devait, par les autres candidats. Ils sont conscients de l’importance d’une telle arrivée. Et curieux, à juste titre, de savoir ce qu’un homme de sa valeur, avec un tel vécu, va apporter à notre groupe qui est en train de se construire et qui forme déjà une belle équipe.
En quelques mots simples, il a touché les cœurs, suscitant un mélange de respect et d’affection. Notamment quand il a rappelé, à partir d’exemples navrants, et récents, qu’à ses yeux, les ressources humaines comptent davantage que les chiffres de la rentabilité.
Son engagement répond à des aspirations propres qu’il avait déjà exprimées. Il aurait voulu que sa formation politique, le PS, formât une liste citoyenne, ouverte à tous.
« De nos jours, dit-il, les citoyens ne se rallient plus à un parti mais à une personne ».
Ces propos confirment notre engagement pluraliste.
Osons lance une véritable liste de rassemblement.
D’une part, la liste réunit une nette majorité de citoyens, néophytes en politique et trois personnes qui ont une expérience de la politique communale : Sébastien et Frédéric qui ont été échevins ; moi-même qui ai été conseiller communal.
D’autre part, elle allie des candidats qui ont des convictions différentes, à l’exclusion des extrêmes. Quelques-uns sont affiliés à un parti, la plupart, pas.
Cette diversité est une richesse. Elle a le mérite de casser le conformisme et de libérer les énergies et la créativité.
C’est dans cet esprit que l’un des points majeurs du programme que nous préparons concerne la démocratie participative. Elle est initiée, portée donc par des citoyens qui ont la volonté de s’impliquer davantage dans l’élaboration de projets de notre commune.
Ce qui nous manque en démocratie, c’est d’avoir l’audace de sortir des sillons. Ou si l’on préfère : de sa zone de confort.
Christian De Bast