La solidarité se vit aussi à travers la vie communautaire dans la commune. La solidarité, c’est renforcer les liens entre les générations, entre les quartiers, entre les voisins. C’est encourager le volontariat, notamment des aînés qui ont du temps disponible et de l’expérience à partager. C’est concrétiser le projet d’un « repair café », un endroit où des bénévoles réparent des objets trop vite déclarés inaptes. Ce sont tous ces services organisés pour partager des courses. Il n’est pas nécessaire d’énumérer toutes ces formes d’entraide qui jadis étaient plus naturelles et dont on retrouve aujourd’hui qu’elles sont indispensables.
« Le vivre-ensemble, ça commence dans sa rue, dans son quartier, dans une relation intime et forte avec ceux qui nous entourent ; il est essentiel de favoriser les projets hyper-locaux », disait l’auteur de BD François Schuiten dans une interview au Soir.
Proposer une aide matérielle ou financière pour toute personne qui organise une fête ou une activité visant à accueillir de nouveaux habitants
Oui! Je suis d’accord 🙂
Oui mais alors facile de dépenser l’argent des 10500 citoyens pour une fête ou autres. Il y a déjà en septembre un rassemblement près du foyer pour les nouveaux habitants. Le matériel, il existe des personnes qui loue des bancs, tonnelles ou autres dans la région…
Bonjour Maryline, merci pour votre commentaire. Ce que nous souhaitons avec Osons, en plus de cette « visite des lieux », c’est encourager des initiatives de rencontres entre voisins dont le but est clairement de faire connaissance, de créer des liens. Ce sont des mini-fêtes de voisinage pour lesquelles la commune prévoirait un soutien logistique ou financier, dans des limites raisonnables bien sûr. On peut les comparer aux fêtes de quartier, celle de Malfalise par exemple, à un échelon plus local.
Cela ne signifie pas que rien n’existe spontanément. Un exemple de ces contacts est l’ouverture des « Petits déjeuners Oxfam » à des demandeurs d’asile hébergés à Montigny qui viennent proposer leurs plats traditionnels.
Avec l’aide de la commune, tous les services, les commerces, les produits issus de l’entité devraient recevoir un label « MONTAGNARD » qui privilégie les circuits courts et qui pourraient être utilisés prioritairement par ceux qui habitent la commune. Les avantages? Un moindre coût vu les frais de déplacement limités, des avantages liés aux services proposée par des commerçants, ou prestateurs de services divers en offrant des réductions aux habitants. L’ idée pourrait même être poussée à la création d’une monnaie virtuelle qui accentue l’échange de biens et services purement locaux.
Users who have LIKED this comment:
Valoriser les circuits courts est une bonne idée. Outre que cela peut stimuler l’emploi local, la démarche répond à l’exigence accrue de consommateurs désireux d’acheter une nourriture de qualité. Ces consommateurs dont vous devez sans doute faire partie, sont rassurés par la connaissance du producteur avec lequel ils ont un contact direct.
S’agissant des communes, n’oublions pas qu’elles sont soumises à des règles strictes concernant les marchés publics.
Quant au label « Montagnard » et à la monnaie virtuelle, pourquoi pas? Cela vaudrait la peine d’interroger nos commerçants pour leur demander ce qu’ils en pensent. J’en profite pour rappeler que les Joyeux Montagnards ont leur propre bière… Ce qui est au moins un label de bonne humeur!
Entièrement d’accord , mais énormément de choses à mettre en place !!d’abord un comité de quartier qui pourrait gérer la sécurité , problèmes d’éclairage Public , arrivée de nouveaux voisins , quand je dit sécurité comprenez la vitesse de certains conducteurs dans les petites rues ,des chiens non tenus en laisses etc.
pourquoi ne pas organiser un marché hebdomadaire?